shredding street art

Une histoire de vie et de mort du street art

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Le street art est mort,
vive le street art !

Depuis la fin du XXe siècle, les rues des villes se couvrent de messages, de graffitis, de collages. S’il est initialement sauvage, voire vandale, la tendance est d’institutionnaliser cet art urbain, et il trouve peu à peu sa place dans les galeries et les salles de vente. Pourtant fait de matériaux périssables, la question de sa conservation se pose : dans la rue, dans un musée ?

Entre réalité et reconstitution, Shredding Street-Art vous propose de vous emmener découvrir ou bien redécouvrir des œuvres notables du street art de leur démolition à leur éventuelle résurrection.

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Acteur de
sa destruction

Le street investit nos rues et nous entoure. Parfois, il nous prend à parti, nous invite à devenir acteur, nous force à le regarder droit dans les yeux. Au pied des escaliers du métro, dans une salle d’enchère ou dessiné à la craie, les artistes nous invitent à prendre des décisions. Quels seront vos choix ?

Ernest pignon Ernest, La Commune ou Les Gisants

Utilisez votre souris pour regardez autour de vous.

Vous avez fait le choix conforme à ce qui était prévu par l’artiste.

En piétinant l’oeuvre, et donc les cadavres qu’Ernest Pignon-Ernest représente, vous êtes pris d’un sentiment de malaise.

C’est le but de l’artiste que de vous faire ressentir une gêne désagréable, vous permettant de mesurer la violence de la répression qu’ont subit les Communards durant la Semaine Sanglante.

L’oeuvre est créée pour commémorer le Centenaire de l’évènement, et Pignon Ernest choisit d’investir des lieux marquants de la Commune pour cet hommage.
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Vous avez fait le choix contraire à ce qui était prévu par l’artiste.

En choisissant d’épargner l’oeuvre, vous manquez l’aspect immersif de l’installation.

Les sérigraphies évoquent les victimes de la Semaine Sanglante, répression violente ayant mis fin à la Commune de 1871, et l’action du spectateur est nécessaire pour mesurer la violence ayant eu lieu.

L’oeuvre est créée pour commémorer le Centenaire de l’évènement, et Pignon Ernest choisit d’investir des lieux marquants de la Commune pour cet hommage.
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